Parmi les patients qui hantent les couloirs de l'Asile d'Aliénés d'Arkham, John Constantine est un cas typique d'obsessionnel potentiellement dangereux pour l'intégrité physique et morale d'autrui.
Ses références permanentes à un monde phantasmagorique dirigé par un roi en haillons, et sa volonté de mettre en scène une pièce sans aucune rationnalité, ne laissent planer aucun doute sur le pronostic.
Les psychiatres ne se prononcent pas sur l'irrémédiabilité des troubles, mais ont évalué que l'isolement du patient était devenu nécessaire en raison de nombreux incidents provoqués par l'orchestration de mises en scènes macabres avec les autres pensionnaires.
L'apparition des troubles semble contemporaine de la vague de folie observée en juillet 1925 dans le milieu artistique, et tous les cas présentent des similarités inexplicables qui font encore l'objet d'études approfondies.