Walter Kum Dorne

Walter mérite bien son surnom de "Dandy". Toujours bien mis, le jeune homme porte des costumes sur mesures, de couleurs sombres,
noirs pour la plupart. Il porte également un chapeau de type Borsalino et une cravate écarlate marquée de ses initiales dans une police gothique. Pour rehausser le tout, il porte régulierement une écharpe blanche. Il est assez bel homme et n'a pas de mal à être accompagné en soirée bien qu'il mette régulierement les gens mal à l'aise. En effet, en toute circonstance il affiche un sourire figé, étrange rictus impassible qui ne quitte son visage anguleux d'une paleur intense. Peu loquace, ou se dissimulant dérrière une noblesse et une politesse extrème, Walter aime placer des phrases toute faîte parfois vide de sens pour se glisser dans les conversations. Il préfère observer et guetter les être humains qu'ils cotoient pour déceller leur faiblesses.

Walter Kum Dorne et le seul Heritier de la famille Kum Dorne dont la fortune s'est fait sur la traite des nègres et sur les talents d'entrepreneurs de l'arrière grand père de walter. Cependant le parcours de ce jeune heritier d'une immense fortune est un peu atypique. Son père, Karl Kum Dorne, fut ravi de la venue d'un fils, non pas par amour filliale mais grâce à l'optique de faconner un être humain à son image, de jouer avec une poupée humaine maléable. Dès son plus jeune age, le jeune garcon fut le temoin de nombreuses horreur, son père lui enseignant à ne réagir que par un sourire impassible et ce, à l'aide d'un ceinturon clouté. Ce faisant il voulait faire de son fils un être froid et imparméable à la réalité du monde. Walter profite d'une des meilleurs éducation possible et s'essaie très jeune à la peinture. Il se découvre rapidement un amour inconsidérable pour les chiens et obtient rapidement un chenil plein de berger allemands, son favori se nommant Baxter.

las affaires de son père dans l'esclavage peu scrupuleux le pousse à voyager beaucup sur le continent africain, il n'hésite pas à amener son fils avec lui, l'habillant et le coiffant avant chaque sortie. c'est vers ses 10 ans que walter découvre une des passions de son père: la chase à l'homme. Ce dernier organise en effet des battues sur quelques villages isolés en afrique et parfois en amérique du sud. Il choisit d'initier son fils à ce plaisir de désaxés et pour l'anniversaire de ses 11 ans Walter abats
plusieurs esclaves noirs sacrifiés par son père et récoit un couteau aux armoiries de sa famille. Ce "sport" fascine le jeune homme qui partage les goûts de son père. Chaque séjour sur le continent africain se solde par l'une de ses chasses. Alors qu'il fréquente une prestigieuse univesité munichoise, Walter fait la connaissance de Hans Bellmer qui tombe sous le charme du jeune homme. Ce dernier, trace de nombreux portrait du visage figé de Walter et écrit plusieurs éssais sur la psychologie de Walter... Bien que Walter ait une certaine affection pour la thompson Chicago lors des chasse de meute, il developpe une attirance pour les armes blanches et demande même à un chaman rwandais de l'initier à l'art de la machette...

Le petit jeu du père de Walter continue jusque celui-ci ateigne sa vingtième année. Alors que Karl habille son fils comme à chaque sortie, celui-ci remarque certaines scarifications que Walter s'était affligé avec une lame qu'il dissimulait dans son anus. cet acte de liberté pousse le père dans une colère noire et il porte plusieurs coups à son fils qui se contente d'afficher un sourire machinale. Alors qu'ils sont en plein safari, l'arme de Karl s'enraye alors qu'il chasse un Lion, tueur d'homme. la bête fonce alors vers karl et le chasseur devient proie. Walter n'intervient pas et contemple la scène. Alors que le fauve déchiquete le pauvre homme, le regard du père ne trouve pour écho que celui d'une poupée. Il avait reussit son oeuvre, il n'avait pas un fils mais un jouet.
Une fois sa victime égorgée la bête s'approche de Walter qui la fixe en souriant; Le lion ne trouvant aucun écho à ses grognement finit par laisser cette chose sans âme qui le fixe. Walter reste alors plusieurs heure sans bouger, inanimé avant de se tirer lui même de sa torpeur en faisant glisser la lame de son canif sur sa langue.

Les droits de successions sont vite réglés et Walter mène une existence solitaire s'offrant régulièrement le plaisir d'une petite chasse en Afrique et en Amérique du Sud. Cependant s'accomodant de plus en plus d'un environnement urbain à Munich, il décide de pousser l'expérience de la chasse en traquant l'homme civilisé. Pour cela il entre en contact avec plusieur association criminelles. Celles-ci, réticentes dans un premier temps,
finissent par apprécier l'efficacité indéniable avec laquelle Walter procède et le peu de choses qu'il demande en échange de ses services.Son argent et sa position sociale, lui permette dans bien des cas d'eviter les ennuis. Dans le monde du crime il se fait rapidement connaître sous le pseudonyme de "Dandy" et en profite pour developper ses talents multiples avec des lames...

Lorsqu'il chasse des groupes de plusieurs individus, Walter utilise une mitrailleuse thompson, idéale pour faucher les cibles en mouvement mais il se reserve le plaisir d'égorgé la plus belle bête avec l'un de ses lames.
Lorsqu'il s'en prend à une cible unique, il utilise bien evidement une lame. Il n'est pas du genre à conserver des trophées et se contente d'abattre ses victimes gardant en mémoire chacune de ses victimes dans sa salle au trophées imaginaire.